Jeudi 29 Novembre 2012: La superbe forêt de Tadapani et une très belle soirée avec Elisa


Comme prévu le réveil sonne aux aurores pour nous rendre au sommet de Poon Hill. Il fait un froid glacial mais je grimpe à une telle allure qu'après 15minutes je suis tramps de sueur et obligé d'enlever une épaisseur puis 2. Le problème c'est quand j'arrive au sommet (le premier soit di en passant en ayant doublé peut être 40 ou 50personnes) je me les gèle sévère. Je prends mon courage à 2 mains enlèvent toutes les couches, essai de me sécher le dos avec ma polaire sèche et remet les épaisseurs sèches d'abord pour finir par les 2 humides. Ca va dessuite beaucoup mieux. Les gens arrivent en masse, le soleil n'est pas encore là que déjà probablement plus de 100 personnes sont là dans les nuages qui se sont multipliés à la vitesse Grand V. 


Je ne m'en plaint pas, il y a de la place et ça me procure de bonnes opportunités photos. Je retrouve Elisa, son papa, les 2 anglais, les 2 canadiens, l'israélien, mes 2 mannequins brésiliens et mon couple d'anglais adoré accompagné d'un jeune couple (Markus et Hannah).





Le soleil commence à faire son apparition à la même vitesse où les nuages se dissipent, nous offrant un panorama MAJESTUEUX. Devant nous, une bonne dizaine de sommet de a chaîne de l'Annapurna. Magique. Beaucoup sont déjà redescendu mais je reste un peu plus même si mes mains n'en peuvent plus tellement il fait froid.






En redescendant, je m'arrête plusieurs foire prendre des photos de la nature gelée.







Quand j'arrive à l'auberge, Elisa et son papa ont déjà pris leur petit-déjeuner et s'apprêtent à partir quand je me met à table. Je démarre au final presque 45minutes plus tard. En chemin je rattrape, Markus et Hannah avec qui je marche un moment et nous rattrapons Elisa et son papa. On s'arrête boire un thé où nous sommes rejoints quelques minutes plus tard par les 2 "papis" anglais" ainsi que les 2 brésiliens.


Les 2 brésiliens nous quitte, mais avant on s'échange nos coordonnées car on ne pense pas se revoir sur le trek mais on compte rester en contact. Je démarre de nouveau avec Elisa et son papa, mais comme la veille, ça ne va pas assez vite pour moi, donc je repars seul. Après 2heures seul, je tombe sur un groupe de Langur à visage blanc, hyper sauvages, mais à force de persévérance, j'arrive quand même à tirer quelques clichés potables.




Cette partie de la randonnée n'est pas facile est assez casse-patte, car ça monte raide, puis descends raide, pour regrimper raide. J'arrive à Tadapani, point de rencontre vers 14h, me dirige vers l'auberge où nous sommes tous censés nous retrouver et un message m'attend de la part de Giles et Sarah, disant qu'ils ont continué jusqu'au prochain village. J'hésite, jette un coup d'oeil à la carte et me rends compte que ça rallonge le chemin donc décide de rester ici pour ce soir.
Pareil pour Hannah et Markus puis Elisa et son papa. On s'installe, et partons nous mettre au chaud et manger un bon lunch dans la salle commune chauffée. Le brouillard est épais, et le devient de + en + on ne voit pas à 20mètres. On passe l'après-midi à discuter et à jouer aux cartes avec aussi un couple gays australo-italiens que j'ai croisé plusieurs fois ces 2 derniers jours sans vraiment discuté. L'heure du dîner arrive, autour de discussion très intéressantes pour la plupart menées par l'un des 2 italiens qui est bouddhistes et qui part dans quelques mois au Sri Lanka étudier justement la religion bouddhiste.

Tout le monde part se coucher vers 10h, mais comme la veille on passe la fin de soirée avec Elisa à discuter de tout et de rien. Elle me plaît beaucoup, hésite un bon moment à faire le 1er pas (elle en meurt d'envie et je le sais) mais nos chemins se séparent demain donc ça ne sert à rien et préfère me retenir. On pars se coucher vers 0h30 dans un froid glacial.

Mercredi 28 Novembre 2012: Une bien courte journée


Ce matin, on prends tous notre petit-déjeuner ensemble dans une ambiance un peu colonie même si l'israélien est toujours aussi pesant à mon goût. Elisa et son papa partent les premiers, je pars une 20aine de minutes après mais après seulement 5minutes, je me rends compte qu'il me manque ma paire de lunettes. Je redescend à la vitesse grand V récupérer mes lunettes. Tout le monde est surpris de me revoir et pensent que je suis revenu pour la petite serveuse à qui j'ai apparemment beaucoup plu la veille au soir (ce que j'avais ben sûr remarqué et pour être honnête elle m'avait pas mal plu aussi) mais non quand je dis que je reviens pour mes lunettes, l'israélien paraît tout surpris et me rétorque "Tu reviens juste pour une paire de lunettes? je suis sûr que tu en a 3 ou 4 paires". Ca confirme mes 1ères impressions, ce type est un vrai blaireau et je lui réponds froidement "D'1 je n'ai qu'une seule paire, de 2 ça ne te regarde en aucun point et de 3 cette paire de lunettes m'a été offerte pour mon anniversaire par ma maman et mon frérot donc je ferai 10000kms pour les retrouver" et je lui tourne le dos en espérant ne pas revoir cet idiot.


Je reprends ma route, fais chemin seul pendant une bonne heure avant de retrouver la petite Elisa, son papa et leur guide. On s'arrête boire un thé à l'ombre où l'on se les caille pour être honnête mais in reste sur place presque 20minutes car un groupe de singes à visage blanc se nourrit en face de nous, cependant un peu loin pour une photo nette.


On reprend notre route, et à un moment donné je décide d'accélérer le rythme car ils vont pas assez vite pour moi et leur dit que je les attendrai là-haut. J'arrive à Ghorepani vers 12h et attend tranquillement à l'entrée du village. Les nuages sont déjà bien présent et la vue des sommets est totalement bouché ce qui est de mauvaise augure pour l'éclipse lunaire de ce soir. 
En attendant,  je rencontre Lucas qui lui aussi à laisser sa compatriote derrière. Elle arrive quelques minutes plus tard, Naty et je les joint pour un lunch ensemble. Lucas et Naty sont mannequins à New York d'origine brésilienne. Une fois mon lunch terminé, je retourne à l'auberge où j'étais censé retrouver Elisa et son papa. J'attends qu'ils finissent leur lunch et on part ses balader dans le village avec Elisa. A un moment donné on passe à côté d'une pâtisserie locale, et comme j'ai encore faim je nous achète une chocolatine chacun et un bon chocolat chaud. Le feu est allumé car il ne fait pas très chaud, et autour du feu on rencontre Sarah et Gilles un couple d'anglais adorables. On passe un très bon moment autour du feu à discuter de nos expériences personnelles en voyage avec Lucas qui nous a rejoint entre temps, puis le couple de canadiens de la veille et malheureusement cet idiot d'israélien qui insupporte tout le monde.

Une fois le feu perdant d'intensité on se rentre à l'auberge et on dîne Elisa, son papa, leur guide et moi car nous sommes que tous les 4 à l'auberge ce soir. Le guide et le papa partent se coucher et nous continuons à discuter jusqu'à pas loin de minuit malgré le fait que nous devons nous lever à 4h demain matin pour assister au lever du soleil depuis Poon Hill.

Mardi 27 Novembre 2012: Début du trek du sanctuaire de l'Annapurna


Levé aux aurores ce matin pour prendre mon bus direction Dhampus. Tout d'abord je dois prendre un taxi pour me rendre à la station de bus qui se rend dans cette direction. Oui Pokhara n'est pas forcément une grande ville mais il y a 3 terminaux de bus différents ce qui bien sûr ne facilite pas les choses. J'arrive sur place, on me confirme que c'est le bon endroit, mais bizarrement je suis le seul blanc. C'est pas grave j'attends 15minutes, prends mon petit-déj et embarque dans le bus. 
J'indique au chauffeur que j'aimerai descendre à Dhampus. La plupart des trekkers descendent (commencent leurs treks) soit à Phedi soit à Naya Pul mais je décide de commencer à Dhampus ce qui me fait commencer à 1700mètres d'altitude au lieu de 1000m pour les 2 autres endroits et puis comme vous le savez j'aime prendre des chemins moins empruntés.
Bien sûr je m'endors dans le bus et quand je me réveille, je me rends compte que la route commence à descendre déjà alors que j'étais censé m'arrêter au point le plus haut. Je me dirige vers le chauffeur qui se rends compte qu'il m'a totalement oublié et fond en excuse. je lui dit qu'il n'y a pas de mal c'est pas bien grave, je vais me taper les 700mètres de dénivelé supplémentaire et puis c'est tout.

Je descends donc à Naya Pul le point principal de départ de ce trek. Je traverse le village et trouve le début du trek grâce aux directions données par les locaux. Bizarrement je suis encore le seul blanc. Je commence mon ascension (pas très agréable au départ pour être honnête car souvent sur une route à Jeep), et après 1h30 de marche je m'arrête manger un bout dans un boui-boui.



Je reprends mon ascension et après tout juste 30minutes je rattrape 2 anglais assez âgé et décide de ralentir la cadence pour continuer avec eux. Au final je m'arrête avec eux au village d'Ulleri où nous choisissons notre auberge. Une bonne douche chaude compris dans le prix de la chambre, un bon mars et ça repart…
Je me rends sur la terrasse, où j'entame la discussion avec une jeune fille et un vieil homme. Père et fille ou vous savez quoi. Père et fille, je suis rassuré. Elisa, 28ans, allemande et plutôt jolie et son papa voyage pour la première fois ensemble et ont décidé devenir dans l'Annapurna 35ans après la première visite au Népal du Papa. Belle histoire. On discute un bon moment, puis on est rejoint par les 2 "papis" anglais, un couple de canadien plutôt cool et un israélien insupportable. 
Je fais pas vraiment attention à l'israélien et passe une bonne partie de la soirée à discuter avec Elisa, qui en plus d'être charmante est super intéressante. 21h30, il est temps d'aller se coucher même si la journée de demain ne s'annonce pas bien longue.

Lundi 26 Novembre 2012: Au gré des courants sur Phewa Lake


Aujourd'hui et comme les jours précédents, on la prend pépère en matinée, un bon petit-déj en terrasse au soleil avant de louer une barque pour nous rendre à la Pagode de la Paix.  Mais avant ça je me rends aux bureaux des treks, pour payer mon droit d'entrée au site de l'annapurna et mon permis de trek ce qui me prend en tout une petite heure.
Quand je suis de retour, on loue donc notre barque pour 500RP pour la demi-journée. On traverse le lac, en s'arrêtant rapidement sur la petite île posée au milieu du lac abritant un petit temple hindous. Rien de bien intéressant donc pas de photos. 



On continue notre traversée, et arrivons de l'autre côté du lac après 45minutes à pagayer. On attache notre barque, et c'est parti pour 1 petite heure d'ascension vers la pagode, qui se trouve au sommet de la colline. 

La vue du sommet est superbe, on domine toute la ville, le lac et c'est bien dommage que l'on ne voit pas les sommets totalement obstrués par quelques nuages. La pagode est également très jolie, avec 4 bouddhas (un de chaque côté Nord/Sud/Est/Ouest) dans une position différente.



On profite de la beauté et de la sérénité du lieux une bonne demi-heure avant d'aller boire un thé et de redescendre tranquillement. En redescendant, un couple de chinois nous demande comment rejoindre pochera, et on leur propose de les embarquer avec nous. Voilà il faut maintenant pagayer pour 4, mais ça va mieux qu'à l'aller on a trouvé le coup pour pagayer droit ce qui n'était pas forcément le cas à l'aller.


On rend notre belle embarcation Bob Marley, 


prenons une douche, et rejoignons la petite australienne de la veille pour aller préparer les motos avec des dizaines de gamins tous plus géniaux les uns que les autres. Comme toujours on est touché par la gentillesse des locaux surtout des enfants, qui pour la plupart dans ce centre sont très éveillés et parlent pour la plupart un excellent anglais. Certains d'entre eux parlent même quelques mots de français et d'espagnol pour notre bonheur avec Alex. La préparation des motos est un jeu d'enfants pour les enfants mais ça s'avère beaucoup plus compliqué pour nous mais après une 10aine le coup vient et on devient des pros du momo. Il va falloir faire travailler votre imagination car pour profiter du moment à fond j'ai laissée l'appareil photo à l'hôtel.
Il est maintenant l'heure de passer à la dégustation des fameux motos qui sont un délice et de laisser tous ces enfants qui nous sautent dessus au moment de partir. Moment plein d'émotion.

On a encore la dalle donc on retourne chez notre tibétain favori pour un bon dernier repas en commun avec Alex qui ne m'accompagne pas en trek et dodo.

Dimanche 25 Novembre 2012: Libre comme l'air dans le ciel de Pokahra


Aujourd'hui est le grand jour pour Alex et moi car c'est notre baptême de parapente. On prends notre petit-déj en terrasse au soleil avant de rejoindre les bureaux de Frontiers paragliding. On embarque tous dans la Jeep et c'est parti pour 25minutes de routes tortueuses et sinueuse direction la plate forme de décollage dans le village de Sarangkot dominant la vallée. Il est presque 12h, les nuages commencent à se faire de + en + pressants sur mes sommets, mais nous avons encore un peu de temps avant que la vue ne soit totalement obstruée.
Mon instructeur (dont j'ai oublié le nom) est une charmante jeune femme, qui me briefe, m'harnache et me dit de courir droit vers la falaise, ce que je fais mais juste avant de s'envoler on se casse la gueule, et on arrive à stopper notre élan à tout juste 1mètre du vide. Légèrement flippant le faux-départ, mais vous me connaissez, il m'en faut plus pour me décourager et le 2ème essai est le bon.


On profite un maximum des courants d'air chaud, qui nous sont en plus indiqués par les quelques aigles et faucons qui tournent autour.


On survole le lac, le village de Pokhara le tout encerclé par les sommets de l'Annapurna pendant une bonne 30aine de minutes de pur bonheur. On commence à descendre tranquillement, et 5 minutes avant d'atterir, elle me demande si je veux faire quelques acrobaties, bien sûr je ne m'en prive pas et je ne le regrette pas. Certes il faut avoir le coeur et l'estomac accroché, je ne le conseille pas à tout le monde, mais j'ai eu mon fix d'adrénaline.





Quelques minutes plus tard, on se pose léger comme des oiseaux au bord du lac et on partage nos émotions et sensations avec Alex. 


Je lui montre mes quelques photos réussi et le patron de la société de parapente, qui n'a pas le temps de prendre de photo quand il vole avec les touristes, trouve mes photos intéressantes, et serait intéressé pour en utiliser quelques unes, pour le futur site internet ce que j'accepte.

On rentre, on mange un bout, je bosse sur mes photos, retourne au bureau et donne mes photos au patron qui est ravi du travail.Il me propose un vol gratuit pour mon prochain séjour au Népal. Il est l'heure d'aller dîner et comme la veille, on mange dans notre petit restaurant tibétain favori, qui est excellent et pas cher. On y rencontre une jeune australienne qui fait du volontariat dans un centre pour aider les enfants sans famille, et nous invite à venir demain préparer des motos et bien sûr en manger quelques-uns. Echange de numéro et RDV demain alors.

Samedi 24 Novembre 2012: Que de chance mais que de chance


Après une bonne nuit récupératrice après ce trajet assez long de la veille, il fait beau et bien meilleur qu'à Kathmandu, du coup après un énorme petit-déjeuner, on décide avec Alex de louer des vélos pour nous rendre dans le vieux Pokhara à 4 ou 5 kilomètres du nouveau Pokhara, qui a été construit plus ou moins exclusivement pour les touristes, au bord du lac où s'enchaîne des dizaines et dizaines de restaurants, hôtels et magasins de souvenirs. Mais avant d'embarquer sur nos montures, on réserve notre vol en parapente pour demain matin. Oui Pokhara est surtout célèbre (et ce au niveau mondial) pour ses conditions de vol quasi parfaite durant tout l'hiver avec des courants d'air chaud continu et un ciel généralement bien découvert. Après avoir comparé tarif et compétence de 4 ou 5 organisations, on choisi Frontiers où l'on négocie le prix à 5500Roupies soit tout juste 50€ pour 30minutes de vol.

Voilà, une fois ça réglé, on embarque donc sur nos vélos direction la vieille ville. Bien sûr malgré notre carte de notre Lonely Planet, on ne trouve pas notre chemin et même en demandant plusieurs fois ce n'est pas si facile. Après 45minutes à rouler, on trouve enfin l'endroit; ou tout du moins on pense être dans la bonne direction, ce qui se confirme en demandant à une locale. Mais en demandant, on croise un cortège de locaux portant une sorte de cercueil totalement fleuri se dirigeant vers la rivière. 


On continue notre chemin sans vraiment prêter attention, mais quelques dizaines de mètres plus loin, je jette un coup d'oeil vers la rivière en contrebas, et je remarque des milliers de personnes toutes plus colorées les unes que les autres.
On se consulte avec Alex, et bien sûr on décide de faire demi-tour et de nous rendre au bord de l'eau nous aussi. On pose notre vélo, et nous mêlons à la foule. Facilement 2 ou 3000personnes sont là, au bord de la rivière, avec de nombreux hommes saints. On se demande bien pourquoi il y a autant de monde, mais mes tentatives d'en savoir plus sont presque inutiles car personnes ne parle anglais mis à part 2 jeunes filles, qui parlent quelques mots, et qui me disent qu'il s'agit d'un des plus gros festival de la ville, vénérant les défunts, et les jetant leurs corps à la rivière sur des embarcations "flottantes" un peu comme la ville sacrée de Varanasi en Inde. 




Malgré que ce rituel paraisse glauque et triste, et bien détrompez vous, pour les hindous c'est un prétexte pour célébrer et tout le monde rigole, danse, chante et l'ambiance est géniale et très colorée comme vous pouvez le remarquer.
L'ambiance est d'autant plus géniale car nous sommes bien sûr les 2 seuls blancs au milieu de cette foule d'hindous, m'invitant même à danser avec eux le tout pris en vidéo par un local qui n'avait jamais eu d'appareil photo dans ses mains. D'ailleurs beaucoup paraissaient intéressés par notre présence (plus par la mienne que par celle d'Alex d'ailleurs qui bizarrement passe presque inaperçu peut être un peu moins extraverti que moi et moins d'expériences avec ces peuples vu qu'il démarre son trip) mais surtout par mon appareil photo. En gros, j'ai été le photographe officiel de la journée, et tout le monde voulait que je les prenne en photo. Pas 1, pas 2 mais des dizaines de fois chacun ce qui me permet d'avoir des portraits de toute beauté et le tout avec des sourires francs et larges.















Vers 14h30, la faim nous tiraillant l'estomac, on quitte finalement les lieux nous rendant compte que nous avons été extrêmement chanceux d'assister à ce festival aujourd'hui. On s'arrête dans un boui-boui local manger quelques motos frais et des mandarines avant de faire chemin inverse pour rejoindre Pokhara version touriste, le sourire aux lèvres.

Une bonne douche, un bon repas et au lit.